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Histoire et culture autochtone

By Daniel Bahuaud 4 minute read Preview
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Histoire et culture autochtone

By Daniel Bahuaud 4 minute read Saturday, Aug. 8, 2015

Professeure de droit l'Université du Manitoba, experte en droit autochtone, Aimée Craft est désormais directrice de la recherche pour le nouveau Centre national de vérité et de réconciliation, le premier au Canada.

Le Centre est situé sur le campus de l'Université du Manitoba, et recevra toutes les archives de la Commission de vérité et de réconciliation (CVR) ainsi que les archives du Canada sur les pensionnats indiens.

´Mon r¥le sera d'encourager et d'appuyer la recherche sur les pensionnats indiens. Cette recherche sera, bien sªr, entamée par des chercheurs universitaires. Mais aussi par les communautés autochtones et même les individus. Ce travail se fera dans l'esprit de la CVR, qui est d'accueillir la vérité des faits, mais aussi d'encourager la réconciliation. Encourager la réconciliation, ce ne sera pas une facette secondaire des travaux du Centre national de vérité et de réconciliation. C'est un élément essentiel. La seule vérité ne conduit pas toujours ou forcément la réconciliation. D'autres efforts sont requis.ª

Entre autres des activités et exercices de réconciliation que les communautés autochtones partout au Canada pourront entreprendre.

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Saturday, Aug. 8, 2015

Daniel Bahuaud photo
Aim��e Craft

Daniel Bahuaud photo
Aim��e  Craft
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Cours droits linguistiques Les droits linguistiques en français

Camille Harper-Séguy de La Liberté pour le Winnipeg Free Press 4 minute read Preview
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Cours droits linguistiques Les droits linguistiques en français

Camille Harper-Séguy de La Liberté pour le Winnipeg Free Press 4 minute read Saturday, Jan. 12, 2013

ÉTUDIER le droit en français au Manitoba devient possible. Après avoir lancé un cours de français juridique en janvier 2011 pour les étudiants de 2e et 3e années, puis un cours de rédaction et recherche juridique en français pour ceux de 1e année en septembre 2012, la Faculté de droit de l’Université du Manitoba lancera le 9 janvier prochain un second cours de 2e et 3e années en français, sur les droits linguistiques.

Ce cours est le premier donné en français au sujet des droits linguistiques à l’Université du Manitoba, mais aussi dans l’ensemble de l’Ouest canadien.

“On est la seule Faculté de droit au Manitoba, donc c’est notre devoir de former des étudiants capables de représenter des clients en français,” affirme le professeur agrégé de droit à l’Université du Manitoba, Gérald Heckman, qui a mis sur pied le cours de droits linguistiques en français. “On a de plus en plus d’étudiants francophones ou issus de l’immersion qui veulent développer leur français.”

D’ailleurs, le professeur émérite à l’Université de Saint-Boniface (USB), Raymond Hébert, qui coordonnera le cours de droits linguistiques, souligne que “l’Association des juristes d’expression française du Manitoba (AJEFM) compte désormais plus de 150 membres, un chiffre qui a beaucoup augmenté depuis les derniers dix ans. Ça montre bien une augmentation des juristes qui veulent pratiquer en français.”

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Saturday, Jan. 12, 2013

CAMILLE HARPER-SÉGUY
Gérald Heckman (à gauche) a développé le premier cours de droits linguistiques en français au Manitoba et dans l’Ouest canadien. Il sera coordonné par Raymond Hébert (à gauche).

CAMILLE HARPER-SÉGUY 
Gérald Heckman (à gauche) a développé le premier cours de droits linguistiques en français au Manitoba et dans l’Ouest canadien. Il sera coordonné par Raymond Hébert (à gauche).
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Changer de cap

Le fil des Francophiles / Daniel Bahuaud de La Liberté pour le Winnipeg Free Press 4 minute read Preview
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Changer de cap

Le fil des Francophiles / Daniel Bahuaud de La Liberté pour le Winnipeg Free Press 4 minute read Saturday, Mar. 24, 2012

“AU lieu de m’acheter une Porsche, je suis retourné aux études,” lance Philippe Richer, avec humour.

Aujourd’hui avocat spécialisé dans le droit criminel à Winnipeg, le Montréalais d’origine peut en rire, mais en 2005, à l’âge de 37 ans, Philippe Richer était dans le creux de la vague, ne sachant pas ce qu’il allait faire de sa vie. “Mon mariage se terminait et mon boulot de vendeur d’équipement de manutention industrielle m’ennuyait à mourir,” racontet- il. “La séparation était difficile. Tous mes plans étaient tombés à l’eau. C’était le remous total.”

C’est alors qu’un ami lui suggéra de se recycler, en retournant aux études.

“Au départ, je résistais,” admetil. “Je me disais que j’avais une hypothèque et trois enfants. Mais je suis allé frapper à la porte du bureau d’Aide aux étudiants du Manitoba.

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Saturday, Mar. 24, 2012

DANIEL BAHUAUD / LA LIBERTE
Philippe Richer est devenu avocat en droit criminel à l’âge de 40 ans après avoir repris ses études en plein divorce et avec trois enfants à charge.

DANIEL BAHUAUD / LA LIBERTE
Philippe Richer est devenu avocat en droit criminel à l’âge de 40 ans après avoir repris ses études en plein divorce et avec trois enfants à charge.