News for young children
Hot diggity dog! Wienermobiles put on riveting race in Wienie 500 at Indianapolis Motor Speedway
3 minute read Preview Saturday, Sep. 20, 2025‘Special to the world’: Supporters hope to save beloved Drumheller dinosaur
5 minute read Preview Monday, Sep. 22, 2025Anti-racism activist hopes to make our communities mutually respectful
7 minute read Preview Monday, Feb. 24, 2025Paleontologist makes strides toward understanding the way mosasaurs behaved
6 minute read Preview Monday, Jan. 20, 2025Classrooms don’t have to be smartphone-free zones, tech-fluent educators tell province
5 minute read Preview Friday, Feb. 9, 2024Frustrated educators disconnecting distracted students from devices
4 minute read Preview Thursday, Feb. 8, 2024Little things in life can take on big meaning
4 minute read Monday, Aug. 9, 2021Every once in a while, I have to try extra hard to look for the good things around me, especially lately.
I remind myself to poke my head outside of my echo chamber, and remember that even though the world seems to be on fire (literally and figuratively) there is still goodness and my soul needs to be nourished by it.
Sometimes, the brightest spot on my day is a jackpot — something like going on a vacation or finding a $5 bill in my pocket.
It’s the days that I easily make a connection with someone or have so much fun doing something that I forget about all the chaos around me.
Pas facile, le baseball au féminin
4 minute read Saturday, Aug. 4, 2018Quand elle était enfant, Sophie Bissonnette n’avait pas d’intérêt évident pour un sport particulier. Ses parents ont donc décidé de l’inscrire au baseball, la passion de son père, Marc Bissonnette. Devenue elle-même amoureuse du sport, elle a joué pendant 15 ans dans des équipes masculines, puis féminines.
À ses débuts, le baseball était surtout l’occasion pour Sophie Bissonnette de passer du temps avec son père. “Il m’a toujours entraînée, et ça me plaisait beaucoup d’avoir ces moments avec lui. Dans ma première équipe, il y avait six filles et un garçon. Au fil des années, il y a eu de moins en moins de joueuses, jusqu’à ce que je sois la seule de mon équipe.”
Une situation qui a quelque peu préoccupé ses parents. “Ma mère était inquiète que je ne sois qu’avec des garçons. Mes parents m’ont proposé de passer au softball, pour être avec d’autres filles. Mais pour moi, c’est un sport complètement différent, et je ne voulais pas arrêter le baseball.”
Sophie n’a senti une différence que quand elle a commencé à jouer à haut niveau. “L’entraîneur me traitait comme les autres joueurs. Mais je n’étais pas la meilleure, et je sentais que je devais travailler plus fort, parce qu’il y avait des préjugés. Quand il y a 12 garçons et une fille sur le terrain, on remarque la fille et on prête plus attention à ce qu’elle fait. Mais j’avais ma place dans l’équipe, et j’étais prête à tout pour y rester.”