Social Studies (general)
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Claims of Indigenous ancestry by non-Indigenous Canadians on the rise
6 minute read Preview Saturday, Feb. 8, 2020C’est au tour des missionnaires africains
5 minute read Saturday, Aug. 10, 2019Depuis une vingtaine d’années, la contribution de prêtres missionnaires venus d’Afrique est toujours plus évidente dans le diocèse de Saint-Boniface. Joseph Nnadi, professeur retraité de l’Université de Winnipeg, a réfléchi à ce phénomène (1).
Il aime dire de l’abbé d’origine haïtienne Jean-Baptiste Georges, qui séjournait à Saint-Boniface durant les vacances d’été de 1945 à 1949, qu’il s’agit du « premier prototype de missionnaire africain » à Saint-Boniface: « L’archevêque Georges Cabana le faisait venir ici pendant l’été pour l’aider à convaincre les Noirs qui habitaient Saint-Boniface et peut-être aussi Winnipeg de venir à l’église. Les Noirs comme les Autochtones se sentaient négligés, méprisés, déçus... Cet archevêque a devancé les autres. »
Il aura fallu attendre le début des années 1990 pour voir d’autres prêtres africains arriver à Winnipeg, sous l’impulsion de l’archevêque Antoine Hacault. « Aujourd’hui, sous la gouverne de l’archevêque de Saint- Boniface Mgr Albert LeGatt, il y a 61 prêtres en ministère actif, dont 16 sont africains. »
Ce phénomène est appelé « l’évangélisation en sens inversé ». Dans les années 1960, l’évangélisation allait de paire avec la colonisation. « À l’origine du mouvement, l’évangélisation se faisait dans un sens, un peu partout vers l’Afrique et le tiers-monde. Maintenant, les missionnaires quittent l’Afrique pour aller dans les pays où l’Église catholique existe de longue date. L’Afrique a des missionnaires parce qu’elle avait reçu des missionnaires. On voit ce phénomène en France, en Italie, en Angleterre, au Canada... »
Support for news media a solid, welcome step
4 minute read Preview Monday, Sep. 8, 2025Justice system unfairly punishes and rewards
6 minute read Preview Saturday, Apr. 21, 2018L’avenir de l’Arctique au cœur de Breaking Ice
4 minute read Saturday, Apr. 7, 2018Breaking Ice, c’est un aperçu de la vie sur un brise-glace de recherche, au beau milieu de l’Arctique. À travers son premier long-métrage documentaire, Christopher Paetkau transmet un message sur des enjeux environnementaux cruciaux pour le Canada et le monde entier. Entre frissons et passion.
Christopher Paetkau, Trevor Gill et Carlyle Paetkau ont fondé la maison de production manitobaine Build Films en 2013. Après plusieurs documentaires et publicités, Breaking Ice est leur plus grand projet. Il vise d’ailleurs à répondre au point central de leur mission: les enjeux de l’Arctique.
“Nous travaillons beaucoup dans l’Arctique, surtout sur des aires marines protégées. Au début, c’était une question de curiosité. Puis, ça nous a vraiment pris aux tripes. Une fois là, on réalise à quel point ces paysages sont complexes et fascinants. Pour nous, l’émotion n’est pas d’avoir une caméra entre les mains. Elle vient d’être capable de transmettre un message.
“Quand vous sentez le sol littéralement fondre sous vos pieds et que vous savez que des gens vivent ici, il y a vraiment de quoi se poser des questions. À mon avis, l’Arctique est d’une actualité brûlante. Il y a tant de choses à entreprendre.”
‘Mistake’ leads to Canadian Forces ad on far-right website
5 minute read Preview Tuesday, Mar. 6, 2018A country born amid controversy
5 minute read Preview Friday, Jun. 30, 2017While our 150th birthday party is a big, 'Dominion Day' began with respectful restraint
16 minute read Preview Saturday, Oct. 11, 2025Peut-on se fier au narrateur?
3 minute read Preview Saturday, Jun. 24, 2017Bernice Parent, maître-bénévole en action
4 minute read Saturday, Apr. 29, 2017Bernice Parent a le bénévolat dans le sang. Dès l’école secondaire, elle s’est impliquée dans tous les projets possibles. Rapidement, elle a réalisé qu’une fois engagée, il lui serait impossible de s’arrêter. Ainsi, lorsque s’est présentée l’occasion d’être bénévole et d’en former pour les Jeux du Canada, elle n’a pas hésité une seconde.
L’engagement de Parent en faveur des Jeux du Canada organisés au Manitoba est sa manière de redonner à la communauté. “Je suis capable de le faire, et ça me fait plaisir. C’est une belle opportunité de donner un coup de main là où on peut. C’est important d’aider quand il y a un évènement dans notre ville.”
Durant ses 25 ans de travail dans le domaine corporatif, Parent a eu maintes fois l’occasion de donner des sessions de formation aux dirigeants. Depuis qu’elle a pris sa retraite en 2014, elle a commencé à proposer des cours de yoga et de pleine conscience. “J’ai animé beaucoup de formations dans ma vie, dans ma carrière. Il y a 10 ans, j’ai reçu la certification nécessaire pour enseigner le yoga. Mais j’avais besoin d’ajouter une dimension complémentaire à mon enseignement. Alors je me suis intéressée à la méthode de pleine conscience.”
La pleine conscience, la bénévole la définit comme “l’idée de vivre dans le moment présent, de porter attention à la vie de tous les jours et à ce qu’elle nous offre, sans jugement de valeur. Beaucoup de gens souffrent physiquement ou mentalement dans la vie. La pleine conscience peut vraiment faire une différence.”
‘Mes origines sont tatouées sur ma peau’
5 minute read Preview Saturday, Apr. 15, 2017Social justice fighters restore our faith in humanity
5 minute read Tuesday, Dec. 20, 2016On Dec. 12, housing and anti-poverty advocates gathered to recognize Clark Brownlee, a local activist who retired after a long engagement with social justice and policy advocacy. It was a much-needed reminder there is still good in the world.
It has been difficult not to lose faith in humanity in a world where millions of people recently saw fit to elect Donald Trump as leader of the United States.
Many Canadians are watching in horror as a new political era begins to take shape south of the border. It’s not just the United States that has seemingly gone mad. Racism in politics is rampant in Europe and Kelly Leitch has shown us Canada is not immune. In her bid for leadership of the Conservative party, Leitch has been vocal about her support for Trump and has pitched a number of racist policy proposals. She is currently a frontrunner.
So yes, it is hard to be hopeful at a time when hate and fear of “the other” seems to be inspiring a disturbing number of voters.
L’ impact d’une loi injuste et intransigeante
5 minute read Preview Saturday, Feb. 20, 2016Le hockey: une tradition bien vivante à La Broquerie
4 minute read Friday, Feb. 5, 2016Garçons, ils jouaient au hockey de rue après l’école. Aujourd’hui, ils ont beau avoir 25 ans, 35 ans ou plus encore, la glace les attire toujours. Ce sont les Habs, l’équipe sénior de La Broquerie.
Patrick Gauthier a 33 ans. Depuis 15 ans déjà, le résident de La Broquerie porte le chandail des Habs, fidèle au rendez-vous des pratiques et des matchs de la Ligue de hockey sénior Carillon.
“Je suis avant, mais j’ai déjà été ailier, occupé le centre et joué en défense. Un vrai bouche-trous, quoi! Mais ce n’est pas ça l’important. L’important, c’est de jouer avec mes amis. Des gars avec qui j’ai joué toute ma vie, depuis que j’ai appris à patiner à l’âge de quatre ans. Le hockey, c’est mon activité d’hiver. Dès que l’hiver arrive, je pense au hockey. Ça a toujours été comme ça. Quand j’étais garçon, je rentrais de l’école Saint-Joachim et je jouais au hockey de rue avec les copains. Mes parents devaient me rappeler de rentrer pour souper. Après le repas, j’allais dehors sur la patinoire extérieure, avec les amis!
“Être Hab, c’est dans le sang. Mon père, Lionel, était joueur et entraîneur pour les Habs entre 1975 et 1985. Mon grand-père Aimé était un Hab de 1951 à 1954. Mon frère Yvan a joué un an pour l’équipe en 2011 et mon petit frère, Stéphane, a intégré l’équipe en 2007. Maintenant, c’est au tour de mes trois fils de s’initier à la tradition. Mes deux garçons aînés ont commencé à jouer au hockey cette année.’